Djînns des rues

Malveillant pour certains, vénéré pour d’autres…

Pour certaines cultures, le chat peut-être mal veillant avec une attitude douce et sournoise. Dans d’autres, c’est tout le contraire, bienfaisant et d’une attitude tranquille, paisible d’une sagesse supérieure. Dans la société musulmane, le chat a « la baraka ». Il est, plutôt, bien reçu sauf s’il est noir. Les Djînns apparaissent souvent sous la forme de chats. Particulièrement câlin, pot de colle, ou à l’inverse rester distant et discret. Dans la rue, le chat s’adapter à son environnement. Fait d’adresse, d’observation, de réflexion, malin, il arrive toujours à ses fins. Pour ma part, j’aime les chats pour leur caractère relativement indépendant, mais en même temps, il peut être câlin quand il se sent rassuré. Une complicité est possible avec cet être mystérieux.

Je vous propose de rencontrer ces chats marocains au fils de mes voyages dans des contextes et des situations de la rue et de la campagne marocaine…

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